Pour clore cette escapade camarguaise, ne pas oublier de s'attarder sur certains acteurs du spectacle de la nature sur lesquels le regard glisserait au premier abord, parce que familiers...
Si on prends le temps de le contempler, le Cygne Tuberculé reste une vison d'une élégance délicate qui ne manque que rarement de faire revenir un instant en vous les notes mélancoliques d'un ballet ancré dans votre imaginaire...
On note là encore au début de la période nuptiale... que l'on peut reconnaitre un mâle au caractère particulièrement protubérant du "tubercule" sur le bec : le reste de l'année, impossible de distinguer mâle et femelle !
Voilà... ainsi se termine cette parenthèse camarguaise, avant de revenir à des images africaines.. et, bientôt, nous l'espérons, de repartir avec vous en voyage en avril (on vous tient au courant !).